Construction et réhabilitation de centres TB et TB-MR, Niger

Assistance technique à la construction et réhabilitation de structures médicales pour les patients tuberculeux et TB multi-résistants au Niger, Save the Children International, Août 2018  – Avril 2019.

La mission a eu pour objectif de s’assurer de la bonne mise en œuvre des mesures environnementales de contrôle des infections dans le cadre d’un programme de réhabilitation et de construction d’installations médicales pour les patients tuberculeux et les patients tuberculeux multirésistants, et de garantir le respect des directives internationales de l’OMS pour la lutte contre les infections respiratoires. Le programme, financé par le Fond Mondial, comprenait la réhabilitation du centre antituberculeux de Niamey, la réhabilitation et la construction des centres antituberculeux des hôpitaux régionaux de Maradi et Tahoua, ainsi que la construction de laboratoires spécifiques dans sept centres de santé à Niamey et dans les régions.

Les mesures environnementales mises en place pour la prévention et le contrôle des infections concernent principalement la ventilation naturelle, les surfaces et équipements minimaux, l’organisation et l’aménagement des espaces, les matériaux de finition ainsi que le flux des différents utilisateurs et la proximité des services. Les principales tâches exécutées par INTERACTA ont consisté en des recommandations architecturales, la révision de tous les documents de projets, le contrôle des sites de construction, le reporting et la réception des travaux. Des fiches techniques sur les circuits, le mobilier, le nettoyage et les équipements de protection individuelle ont été produites à la fin du projet pour les utilisateurs.

INTERACTA a assisté l’ONG Save the Children International d’août 2018 à avril 2019 et a travaillé en étroite collaboration permanente avec les responsables de projet et les architectes. Toutes les rénovations et constructions prévues dans le programme final ont été achevées et reçues en mars 2019. Cette mission fait suite à l’évaluation réalisée pour l’OMS en mai 2017.